Aviation
La 6e escadre de bombardement de la Luftwaffe demeure une unité encore peu connue en raison de sa relative courte existence. Elle fut en effet mise très difficilement sur pied par un ordre d’octobre 1941, cette escadre ayant été conçue pour appuyer la KG 2 dans ses opérations sporadiques de harcèlement de la Grande-Bretagne. Sa formation fut lente et laborieuse par manque d’effectifs. La pauvreté de la Luftwaffe (nettement constatable dès cette époque) explique que l’on dut rappeler du front de l’est le III./LG 1 au grand complet pour l’inclure dans la nouvelle escadre. Il fallut ainsi attendre le mois d’août 1942 pour que les premiers Ju 88 de la KG 6 opèrent de l’autre côté de la Manche, l’escadre étant cependant engagée de suite dans les combats de Dieppe lors du débarquement sanglant des Canadiens. En novembre, l’unité - partagée entre la France et les Pays-Bas - servit d’appoint pour occuper la Zone Libre française. Concomitamment, ses meilleurs équipages furent appelés dans un ‘Einsatzgruppe’ envoyé en urgence en Méditerranée en appui de l’Afrika Korps.
Au début de 1943, la KG 6 se retrouvait écartelée entre l’Italie, le Danemark et la France d’où quelques actions continuèrent à être lancées sur la Grande-Bretagne. En juin, cependant, en pleine reconversion sur Ju 188, deux Gruppe furent retirés de France pour repartir combattre en Italie. Fin 1943, le II./KG 6 fut envoyé de même combattre en Mer Egée.
Ce ne fut finalement qu’au début de 1944 que l’escadre put enfin être engagée au grand complet dans ce qui avait été sa finalité : les attaques de l’Angleterre. La KG 6 prit part à l’opération ‘Steinbock’ où ses pertes furent sévères. Cela peu avant ‘Overlord’, le débarquement de Normandie, qui allait également tailler des coupes sombres dans les effectifs. Reculant ‘pied à pied’, la KG 6 se replia sur le Reich avant d’être dissoute en septembre 1944 en raison de ses lourdes pertes. L’escadre allait cependant renaître de ses cendres comme KG (J)/6, une unité de chasse équipée, entre autres, de Me 262 à réaction.
Les mois suivants, la KG (J)/6 allait connaître les derniers soubresauts de la Luftwaffe jusqu’à la capitulation du IIIe Reich, ses effectifs se résorbant progressivement comme peau de chagrin. Ses pilotes combattirent néanmoins jusqu’au début de mai 1945.
Un ouvrage de plus de 380 pages, agrémenté de 660 photos et 20 profils couleur réalisés par Vincent Dhorne.
45,60 €
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Il peut sembler étonnant dans le cadre d’un historique d’unité aérienne de détacher un groupe de son escadre. Cependant, le III./ZG 26, qui entama la Seconde Guerre mondiale sur Bf 109, connut une carrière très indépendante. Ayant reçu des bimoteurs Bf 110 lors de la Drôle de Guerre, l’unité fut largement engagée en 1940 à l’ouest et sur l’Angleterre. Mis en disponibilité fin 1940 comme tous les groupes de Zerstörer, le III./ZG 26 fut envoyé debut 1941 en Mediterranée où ses chasseurs lourds appuyèrent principalement l’avance de l’Afrika Korps tout en escortant les navires ravitaillant l’Armée allemande d’Afrique. En 1943, après la chute de la Tunisie et confronté à la supériorité numérique de l’aviation alliée, le III./ZG 26 regagna l’Allemagne pour être jeté dans les sanglants combats de la Reichsverteidigung. Les Bf 110 y furent décimés et l’unité fut dissoute à la mi-44. Un ouvrage de 176 pages avec 380 photos et 28 profils-couleurs.
Format : A4
33,25 €
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En 1935, lors du premier vol du prototype, qui aurait pu imaginer l’incroyable succès du Douglas DC-3 ! Après la seconde guerre mondiale, le C-47, sa version militaire, symbolisera l’avion du
débarquement de Normandie et dès 1944, il volera sous les cocardes françaises.
Dans l’Armée de l’air et l’Aéronautique navale, près de 300 « Dakota », surnom du C-47, assureront d’innombrables missions. Pendant quarante années, les « Dakota » porteront nos couleurs à
travers le monde : c’est cette longue page de notre histoire aéronautique militaire qui est racontée dans ce livre.
Les C-47 connaitront le conflit d’Indochine et l’enfer de Dien Bien Phu. Ils seront déployés en Afrique, ils sillonneront le ciel de nombreux pays. En métropole, ils participeront à la formation
des équipages du Transport Aérien Militaire, ils équiperont également l’Aéronavale. Des témoignages inédits illustrent les missions du C-47 et font revivre ses aventures.
Retirés du service, de nombreux « Dakota » sont cédés à d’autres pays ou à des compagnies aériennes, certains seront équipés de turbines. La « vie » de chacun des avions ayant servi dans les
armées françaises est retracée. Certains volent encore aujourd’hui et leur histoire se poursuit !
Largement illustré, complété par une cinquantaine de profils, cet ouvrage de référence vient enfin raconter ce que fut la carrière du mythique « Dakota » sous les cocardes
françaises.
Format : A4
56,05 €
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Créé au printemps 1939 le Groupe de chasse III/3 aura à peine le temps de s'entraîner que la déclaration de guerre lui fera quitter la Bourgogne pour rejoindre son terrain de campagne. Un drame lors de ce transfert amputera le groupe de 6 de ses pilotes, tués ou grièvement blessés. Reconstitué à Salon-de-Provence, le III/3 gagne l'Est de la France et passera la Drôle de guerre à Ochey (Meurthe-et-Moselle). Leur premier succès du 30 septembre 1939 leur regonfle leur moral mais les missions qui se succéderont jusqu'en avril resteront surtout des escortes d'avions de reconnaissance et de surveillance. L'arrivée du capitaine Richard en janvier 1940 à la tête du groupe apporte un nouvel état d'esprit mais sa mort prématurée peu de temps avant le choc du 10 mai 1940 pourrait être l’une des causes de sa relative discrétion "médiatique". Et pourtant, ses succès (et ses pertes) remportés en Belgique ou en Picardie à bord de Morane avant d'être transformé escadrille par escadrille sur Dewoitine 520, le classeront 11ème pour le nombre de ses victoires. Le GC III/3 réussit à passer en AFN mais est dissous en août 1940 après 482 jours d'existence.
Bien que peu de documents officiels aient survécu jusqu'à aujourd'hui, les auteurs peuvent raconter ce parcours grâce à de formidables archives conservées dans les familles. Nous vous proposons de découvrir l’histoire de cette unité de l’armée de l’Air et de ses aviateurs à travers ces 208 pages, 300 photos, 4 cartes, 27 profils de Yann Le Gal.
Format : A4
36,10 €
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Inédit et pour la première fois publié, découvrez ce sujet extrêmement intéressant illustré par de superbes photos !
Mis sur pied suite au désir du gouvernement belge en exil à Londres de disposer d’une unité de chasse purement nationale, le N° 350 (Belgian) Squadron voit le jour en novembre 1941. Avec un personnel mixte (anciens pilotes de l’Aéronautique Militaire, élèves ayant achevé leur écolage à la RAF, techniciens principalement britanniques), l’unité va d’abord prendre part à la défense aérienne du Royaume-Uni avant d’être engagée sur Dieppe puis dans des missions régulières sur le continent. Ce sera alors le Débarquement en Normandie; ensuite la libération de la Belgique et l’avance dans le Reich. La fin de la Seconde Guerre verra l’escadrille basée en Allemagne. Cet ouvrage relate non seulement l’histoire de la première unité de chasse belge dans la Royal Air Force mais également celle des pilotes qui y volèrent.
Format : A4
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La seconde escadre de bombardement en piqué de la Luftwaffe, la St.G. 2, a été très longtemps désignée lapidairement dès 1945 comme ‘L’unité de Hans-Ulrich Rudel’. Si cet aviateur marqua bien
l’escadre de son charisme, la St.G. 2 ne peut cependant être réduite aux exploits d’un seul pilote, même d’exception. Elle fut en effet une des rares unités à voler du premier au dernier jour de
la Seconde Guerre mondiale, opérant jusqu’au bout sur le fameux Ju 87, le Stuka, tout en employant ses diverses versions (de A à G). Si H-U Rudel fut le pilote allemand le plus décoré, la St.G. 2
compta en ses rangs plus de cent Chevaliers de la croix de fer (Ritterkreuzträger) dont beaucoup tombèrent sur le front. Redoutée par ses adversaires sur le front de l’est, la St.G. 2 allait se
spécialiser au cours des derniers mois de la guerre dans la destruction des véhicules blindés.
Le Tome I couvre la période allant de l’avant-guerre à l’importante bataille de chars de Koursk en 1943, épisode-charnière de la guerre à l’est. Cet historique, le premier en langue française,
d’environ 290 pages, est accompagné de près de 600 photographies et des profils couleurs de Thierry Dekker. À ne pas manquer !
Format : A4
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Après la bataille de Koursk, les unités allemandes engagées à l’est ne purent plus que combattre opiniâtrement pour tenter de retarder l’avance inéluctable du rouleau compresseur soviétique.
Comme les autres unités d’appui au sol sur le front oriental, la Stukageschwader 2 (devenue Schlachtgeschwader 2) dut s’adapter et adopter plusieurs modifications, les Fw 190 équipant de plus en
plus d’escadrilles. Mais, malgré les efforts du haut commandement, ces appareils ne purent supplanter totalement le ‘vieux’ Ju 87 qui allait rester le cheval de bataille de nombreux as dont
Hans-Ulrich Rudel. Le Ju 87 G équipé de deux canons antichars allait causer des ravages parmi les blindés adverses même s’ils ne furent engagés qu’en petit nombre et ne purent être pilotés que
par une poignée d’‘Experts’.
Ce Tome II couvre la période courant de septembre 1943 à mai 1945. Il relate les derniers combats ainsi que les pertes de l’escadre ‘Immelmann’ retraitant à travers la Roumanie et la Hongrie,
appelée continuellement sur tous les ‘points chauds’ pour combler vaille que vaille les brèches d’un front craquant de toutes parts. Cela jusqu’à la reddition du 8 mai 1945.
Format : A4
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Pour la première fois est mise à jour l’histoire complète du groupe de chasse 1/55 en mai-juin 1940.
200 pages pour découvrir son parcours hors du commun. La constitution des patrouilles DAT d’Etampes, de Tours, d’Avord et Bordeaux , le repli de la base de Villacoublay et la mise en service de
l’Arsenal VG-33, son installation à Bordeaux en protection du gouvernement et enfin son repli à Toulouse...
L’ensemble de son activité est détaillé au jour le jour grâce à de nombreux témoignages et documents d’époque totalement inédits.
Deux dossiers complètent cet ouvrage : l’un consacré au Morane-Saulnier 410, l’autre à l’ensemble de la série des VG 33.
Le tout est complété de 47 profils couleurs de Yann LE GAL réalisés avec la plus grande précision : Morane-Saulnier 406 et 410, Arsenal, Bloch 151,152 et 155...
Format : A4
34,20 €
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Malgré son aspect typique fort bien connu des férus d’aviation de la Seconde Guerre mondiale, le Fw 200, avion de transport civil militarisé, reste encore un peu mystérieux. Etant un des rares
quadrimoteurs de la Luftwaffe, il servit initialement comme bombardier maritime, gagnant le surnom de ‘Scourge of the Atlantic’ (fléau de l’Atlantique). Et bien qu’appareil très fragile produit à
peu d’exemplaires, il fera un temps vaciller l’Empire britannique sur ses bases. Cet ouvrage couvre toute l’évolution de cet appareil quelque peu mythique, de ses premiers et rapides succès à son
effacement progressif.
Plus de 660 photos, 320 pages, 28 profils couleurs de Thierry Dekker , plans et un écorché.
Format : A4
52,25 €
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Hydravion embarqué sur un grand nombre de navires de la Marine Nationale, le LOIRE 130 aux lignes si particulières est typique de son époque. Il s’agit du premier livre consacré à ce superbe appareil, écrit par Lucien MORAREAU en 2006. Voici la seconde édition corrigée, éditée en 2023. Format A4, couverture rigide, 288 pages avec plus de 360 superbes photos, 42 profils couleurs et de nombreux plans. Tirage limité, ne tardez pas !
45,60 €
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La Lehrgeschwader 1 ou LG 1, escadre de bombardement expérimentale, fut une des premières unités mises sur pied lors de la création de l’aviation militaire allemande peu après 1933. Equipée de He 111 au moment du déclenchement du second conflit mondial mais également disposant d’un groupe de Bf 110 et d’un autre de Ju 87, elle prit part activement aux premières campagnes de la Luftwaffe (Pologne, ouest, ...) avant de recevoir des Ju 88, bombardiers qu’elle conservera exclusivement jusqu’en 1945. Appelée très tôt en Méditerranée, la LG 1 allait de suite se révéler comme un des adversaires les plus redoutables et les plus redoutés de la Royal Navy. Sous les ordres du Kommodore Hellbig, les ‘Hellbig’s flyers’ furent responsables de l’envoi par le fond de nombreux navires alliés. Les actions de la LG 1 en faveur de l’Afrika Korps en Libye et en Egypte furent également efficaces, l’escadre marquant de son empreinte les combats dans le désert. Ce Tome I décrit les premières années de combat de la LG 1, le texte étant étoffé par de nombreux récits de vétérans.
Format : A4
37,05 €
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La Lehrgeschwader 1 engagée en Méditerranée dès le début de 1941 face aux forces britanniques s’était très vite fait respecter par ses opposants (qu’ils aient été de la Navy ou de l’armée de terre), ayant gagné lors de ces sanglants combats le redoutable surnom de ‘Helbig’s flyers’ (selon le nom d’un de ses meilleurs officiers). Mais, en septembre 1942, le III./LG 1détaché ‘temporairement’ en URSS et dès lors coupé du reste de l’escadre, fut redésigné III./KG 6. Le I./KG 55, volant également sur Ju 88, devint ainsi le nouveau III./LG 1. Si ce Gruppe fut dissous en mai 1944, les I. et II./LG 1 combattirent pour leur part jusqu’à la fin de la guerre, quittant l’Italie pour être engagés sur la Normandie au moment du Débarquement de juin 1944 puis sur le Reich tant à l’ouest (Bataille des Ardennes) qu’à l’est (face au rouleau compresseur soviétique). Les reliquats de la LG 1 ne furent dissous de facto qu’au début du mois de mai 1945. Durant toute cette période de guerre, l’escadre vola principalement sur divers types de Ju 88 (A-5, A-4, A-14, S-3). Alors que d’autres Kampfgeschwader furent équipées d’appareils plus modernes (Ju 188 ou Do 217), la LG 1 combattit jusqu’au bout sur des avions que l’on pourrait taxer de dépassés. Mais, tandis que les autres KG furent dissoutes ou passèrent sur chasseurs, la Lehrgeschwader 1 fut une des très rares unités de la Luftwaffe à traverser les quelque six années de guerre en tant que pure unité de bombardement.
Un ouvrage de 288 pages ilustré de 600 photos et 29 profils en couleur de la main de Thierry Dekker. Dans ce Tome II figurent de nombreuses annexes (les pertes de l’unité ainsi que des listes des appareils, des aviateurs et des officiers ayant mené les groupes et les escadrilles).
Format : A4
40,85 €
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Frais de port offerts dans les pays suivants: Autres pays Réduire
Parue en 2006 et rapidement épuisée, la première édition de “Samouraï sur porte-avions” méritait d’être revisitée. C’est donc une seconde édition gonflée et beaucoup plus riche que vous propose l’auteur. Le texte a en effet pu être largement enrichi par l’apport et l’étude de nombreux documents, aussi bien japonais qu’américains, qui n’étaient pas disponibles pour la première édition. Grâce aux archives américaines, beaucoup de photographies prises durant les combats ont pu être ajoutées et cette seconde édition contient maintenant plus de 100 profils couleurs des avions embarqués japonais. Les porte-avions n’ont pas été oubliés et leurs fiches monographiques ont été enrichies. Nous vous invitons donc à découvrir cette seconde édition, publiée cette fois en deux volumes !
Format : A4
52,25 €
TTC, frais de port non compris
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Parue en 2006 et rapidement épuisée, la première édition de “Samouraï sur porte-avions” méritait d’être revisitée. C’est donc une seconde édition gonflée et beaucoup plus riche que vous propose l’auteur. Le texte a en effet pu être largement enrichi par l’apport et l’étude de nombreux documents, aussi bien japonais qu’américains, qui n’étaient pas disponibles pour la première édition. Grâce aux archives américaines, beaucoup de photographies prises durant les combats ont pu être ajoutées et cette seconde édition contient maintenant plus de 100 profils couleurs des avions embarqués japonais. Les porte-avions n’ont pas été oubliés et leurs fiches monographiques ont été enrichies. Nous vous invitons donc à découvrir cette seconde édition, publiée cette fois en deux volumes !
Format : A4
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Parmi tous les grands avionneurs français, Marcel Bloch est l’un des moins bien connus, tout comme ses avions. Il est temps de combler une lacune importante et de présenter ses productions, qui ont marqué les années 1930 jusqu’à la Seconde Guerre mondiale. Comment, en appliquant une politique de petits pas, en s’appuyant toujours sur ses expériences précédentes, bonnes comme mauvaises, il est devenu l’un des plus grands fabricants d’avions du monde. Toujours tourné vers l’avenir, dédaignant le passé, devenu Marcel Dassault après la Libération, il n’a pas laissé beaucoup de traces de ses premières réalisations, réussites comme échecs. Pour retracer son histoire, il a fallu rechercher de très nombreuses sources parcellaires et reconstituer le fil des évènements par recoupements de bribes d’informations éparses. Ce long travail de reconstitution minutieuse mené durant de nombreuses années par l’auteur permet enfin de révéler des histoires d’avions très mal connues, même sur ses appareils les plus en vue. L’histoire des avions Marcel Bloch est complexe, pleine de contradiction et de retournements. Si vous croyez bien la connaître, vous vous trompez ! Découvrez une autre vision de l’histoire de l’aviation, à l’aube de la guerre, avec ses polémiques, ses tentatives, ses projets, ses réalisations, ses ratages, ses rattrapages et ses succès parfois éclatants.
74,00 €
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Parution du 17/12/2013
Auteur : Franck Poiré
Edition : Collection Histoire des Unités n°02.
ISBN : 978-2-914017-77-0
Le Groupe de Reconnaissance 1/35, rattaché à la VIIème Armée Française, fut une grande unité qui servit avec beaucoup de distinction durant les opérations contre l'Allemagne de septembre 1939 à juin 1940. Équipé de l'inefficace Bloch 131 à la mobilisation, le GR 1/35 perçut ensuite des Potez 63-11 puis quelques Bloch 174. C'est l'histoire de tous les hommes qui servirent au sein de ce groupe que nous fait découvrir avec beaucoup de passion Franck Poiré.
Format : A4
23,75 €
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Dès septembre 1939 et durant toute la ‘Drôle de Guerre’, l’espace aérien de la Belgique neutre fut sillonné par les appareils des belligérants profitant de la faiblesse de l’Aéronautique Militaire. Les avions de reconnaissance allemands purent ainsi relever les futures routes d’invasion. Le 10 mai 1940, la Wehrmacht entrait dans le pays et, jusqu’à la fin de ce mois, les combats firent rage dans le ciel belge devenu un enjeu stratégique majeur pour les envahisseurs. Avec le retrait du corps expéditionnaire britannique, les engagements aériens se raréfièrent (bien que toujours actifs en France) ce qui permit aux services de la Luftwaffe de s’établir très vite dans le pays pour remettre en état les aérodromes ainsi que les structures militaires pouvant leur servir.
Après la capitulation française à la fin du mois de juin 1940, la Belgique ne connut que peu de combats aériens de jour, que ce soit lors de la « Bataille d’Angleterre » ou de la « Non-Stop Offensive » en 1941, étant ‘protégée’ par la distance la séparant des bases de chasse de la RAF. Tout au plus, des navires et quelques ports devinrent les cibles de l’aviation britannique.
Par contre, la Belgique était (comme les Pays-Bas) sur une des routes directes empruntée par les appareils du Bomber Command partant de nuit attaquer les usines de la Ruhr. D’où l’implantation rapide dans le pays d’unités de chasse nocturne (Nachtjagd) qui allaient se faire un nom (les fameux ‘Ghosts of Saint-Trond’ redoutés par les équipages de la RAF).
La période 1939-1942 fut donc contrastée avec de sanglants combats lors de l’offensive à l’ouest suivis par une relative tranquillité dans les cieux belges seulement troublés par une montée en puissance du Bomber Command. Les quelques intrusions des ‘lourds’ américains en 1942 demeurèrent ‘anecdotiques’ bien qu’annonciateurs d’une menace croissante.
Environ 250 pages, enrichies par plus de 550 photos.
Tome II programmé pour DEC. 2022 !
46,55 €
TTC, frais de port non compris
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En 1941-1942, si l’on ne tient pas compte des opérations de nuit du Bomber Command, la guerre aérienne n’affecta finalement que peu la Belgique. 1943, l’année-charnière de la Seconde Guerre, fut cependant marquée pour ce pays par l’intrusion croissante des ‘Viermots’ de la VIIIth Airforce américaine qui, jusqu’alors, s’étaient peu manifestés dans son espace aérien. Dès le 6 avril 1943, la population découvrit la puissance meurtrière des ‘Forteresses Volantes’ lors du sanglant bombardement de Mortsel. À cette occasion, on put appréhender la faiblesse locale de la Tagjagd (chasse de jour). Malgré un appel régulier à des chasseurs basés aux alentours ou des mutations temporaires de portions de Jagdeschwader, la chasse allemande (appuyée par la Flak) ne put que difficilement contenir les assauts de l’Usaaf. Lors du premier trimestre de 1944, alors que les chasseurs américains disposaient désormais d’une autonomie leur permettant de survoler le territoire du Reich, la défense diurne du glacis défensif belge s’effondra et les combats aériens dans le ciel belge tournèrent le plus souvent à des revers sanglants pour une Tagjagd toujours présente mais dominée numériquement.
Malgré ses importants succès et le renforcement de ses structures (comme l’entrée en service de l’aérodrome de Florennes au début de 1943), la Nachtjagd subit à son tour la loi du nombre et ce fut probablement lors du dernier trimestre de 1943 que ses appareils perdirent la partie. Bien que luttant pied à pied, les Nachtjäger ne purent plus désormais faire sérieusement barrage aux flottes de quadrimoteurs britanniques partant bombarder le Reich.
Le calvaire de la Luftwaffe en Belgique se poursuivit en 1944 jusqu’à l’évacuation du pays en septembre 1944.
Les combats aériens se poursuivirent cependant sporadiquement dans l’est du pays, culminant en décembre 1944 lors du déclenchement de la ‘Bataille des Ardennes’. Mais, malgré les efforts et les sacrifices consentis, la Luftwaffe ne fut plus capable d’emporter la moindre décision (comme ce fut le cas le 1er janvier 1945 lors de l’opération ‘Bodenplatte’).
En 1945, repoussés à l’est, les appareils allemands ne se manifestèrent dès lors que très rarement sur la Belgique, le dernier d’entre eux semblant avoir été perdu le 30 mars à Saint-Géry.
Environ 250 pages, enrichies par plus de 550 photos.
46,55 €
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Parution du 13/01/2016
Auteur : Henri LACAZE.
Edition : Collection Histoire de l'Aviation n°34
ISBN : 978-2-914017-88-6
Ingénieur par toutes ses fibres, Louis Breguet se détourne après 1905 de la construction électrique pour se lancer dans l’aéronautique. Il tâtonne d’abord dans les voilures tournantes, puis se concentre sur l’architecture biplane avec un succès modéré. Ce livre présente et structure les débuts de sa production, qui en sera au n°150 en 1914 à la déclaration de guerre. Ses appareils à moteur en simple étoile, poussifs, ou rotatifs en double étoile, peu fiables, n’ont pas la faveur de l’Armée. Rétabli grâce aux frères Michelin, puis au Type XIV réalisé avec Marcel Vullierme, il poursuit après guerre sur sa lancée avec les Types XIX et 27, mais si la notoriété puis les ‘honneurs’ le projettent au premier plan, son objectif permanent de développer le transport aérien n’est que partiellement atteint. Tous ses types d’appareils connus avant environ 1933, dont quelques nanards, sont présentés avec photos et 3-vues dans le même esprit que dans un volume antérieur consacré aux avions Morane-Saulnier.
Environ 750 photos et plans sur 272 pages.
Format : A4
56,05 €
TTC, frais de port non compris
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Parution du 22/03/2016
Auteur : Henri LACAZE.
Edition : Collection Histoire de l'Aviation n°36
ISBN : 978-2-914017-89-3
L’ingénieur en chef Vullierme ayant été remplacé par Georges Ricard (il sera recasé à la filiale hélicoptères), Louis Breguet se laisse entraîner par la
modernité et après 1933 fait créer des monoplans de bombardement, de transport et d’appui, tout en continuant au début avec les hydravions biplans Bizerte. Ses usines, nationalisées mais
remplacées par celles acquises de Latécoère, relevées après les bombardements de la guerre, abritent un Bureau d’Etudes de grande qualité dont la polyvalence s’étend au planeur, à
l’hélicoptère, au transport (le Deux-Ponts), à l’aéronavale (l’Alizé) et quelques autres domaines à découvrir dans ce tome. Breguet explore la voie nouvelle de l’aile soufflée. Affaiblie
financièrement, la Société fait preuve de grandes qualités techniques (Jaguar, Atlantic, Alphajet) et diplomatiques (dans la gestion de programmes en coopération). Toujours impécunieuse elle
est reprise par Dassault à partir de 1971, dans lequel elle se fond progressivement. Ce 2ème volume, dont la matière de la partie centrale avait été traitée par Cuny et Leyvastre dans un
livre aujourd’hui épuisé, renouvelle par le texte et l’illustration l’image de ce pilier du patrimoine aéronautique français.
830 photos et plans sur 336 pages.
Format : A4
56,05 €
TTC, frais de port non compris
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De la mise en œuvre précipitée du programme français d’usines souterraines et blindées en 1939 jusqu’à la remise en service des avions allemands abandonnés à la fin de la guerre, en passant par les centres de réparations des chasseurs Focke-Wulf 190 en France occupée, ce livre aux multiples facettes vous fait découvrir une histoire aéronautique insolite en partie liée au village de Cravant et à ses carrières situées au sud d’Auxerre.
Une histoire technique des centaines de Fw190 révisés sous l’occupation dans les centres de Villacoublay, Tours et Cravant avant d’être reconditionnés en NC900 après la libération. Mais aussi une histoire humaine, agrémentée de nombreux témoignages, d’hommes et de femmes français, allemands, espagnols ou russes qui furent embarqués de gré ou de force dans cette aventure.
Vous y découvrirez la production des NC900 dans l’usine souterraine de Cravant et leur utilisation opérationnelle sur fond de luttes politiques et idéologiques, ainsi que l’histoire des unités qui les employèrent dans les années confuses de l’après-guerre. Comme le célèbre régiment Normandie-Niémen où ces « chasseurs Focke » à cocardes côtoyèrent les Yak-3 durant une période de déconvenues, entre le retour triomphant d’URSS et le transfert en Afrique du nord à la fin des années quarante.
Ce livre est basé sur les rapports d’époques et les documents d’archives, ainsi que sur les nombreux témoignages recueillis et recoupés durant vingt années de recherches et de rencontres parfois surprenantes.
480 pages illustrées de plus de 870 photos (dont un photoscope complet du dernier NC900 survivant pour les maquettistes !), une vingtaine de cartes et une quarantaine de plans sans oublier les 26 profils couleurs et 5 profils de détails de Vincent Dhorne. Avec la participation de François IGLESIA.
Format : A4
60,80 €
TTC, frais de port non compris
Frais de port offerts dans les pays suivants: Autres pays Réduire
Premier avion de combat volant à « Mach 2, » le Lockheed F-104 Starfighter fut avec le Dassault Mirage III, le McDonnell F-4 Phantom II, et le Mikoyan MiG-21 l’un
des quatre chasseurs emblématiques de la Guerre Froide. Développé puis construit au début des années cinquante, ce mono réacteur effectua son premier vol le 4 mars 1954 aux mains du célèbre
A. W. “Tony” LeVier. Sur les 2578 exemplaires construits au cours d’un quart de siècle, plus de 1500 sortirent des chaînes européennes de quatre consortiums.
Bien que conçu pour grimper vite et haut par temps clair, le Starfighter fut surtout utilisé comme vecteur de frappe nucléaire tactique (strike) à très basse
altitude dans des conditions météorologiques marginales, rôle pour lequel il fut tout d’abord retenu par la Bundesluftwaffe (version F-104G) et par la Royal Canadian Air Force (CF-104). Il en
résulta un haut taux de pertes qui leur valut une réputation, non justifiée, de « faiseurs de veuves. » En fait, la majorité des pertes étaient dues aux conditions d’emploi et restèrent
comparables à celles des autres appareils utilisés pour le même genre de mission et dans des conditions similaires. Plus méritée fut la controverse causée par plusieurs scandales de
corruption en Europe et au Japon.
Si le F-104 ne connut qu’une courte carrière dans l’USAF, il équipa de nombreuses autres forces aériennes, principalement en Europe et au Japon. Les derniers
ne furent retirés de service qu’en 2004 par l’Aeronautica Militare Italiana. La grande majorité de leurs pilotes éprouvèrent une grande fierté en volant sur ce qu’ils avaient baptisé du
surnom de « Zipper » (fonceur).
En dehors de sa carrière militaire, le F-104 établit de nombreux records de vitesse et d’altitude. De nombreux dérivés en furent proposés et sont décrits et
illustrés par de nombreux dessins d’usine.
René Francillon nous emmène découvrir cet étonnant appareil grâce à ce livre de 350 pages, abondamment illustré avec de nombreuses photographies mais aussi des
plans et les superbes profils couleurs de Thierry Dekker !
Format : A4
52,25 €
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Durant la guerre, la France était restée à l’écart de la révolution technologique que constituait la propulsion par réaction. Un effort industriel et financier considérable allait permettre de rattraper ce retard en quelques années et de voir émerger les produits de la maison Dassault. Mais avant que ce programme porte ses fruits, il fallait, pour l’Armée de l’air, tout apprendre de ce nouveau mode de propulsion et de ses conséquences en matière de pilotage, d’entretien et de procédures de combat.
C’est un produit de l’industrie britannique, le de Havilland DH.100 Vampire, qui est choisi pour assurer cette mutation et moderniser radicalement les unités de
chasse. Certains sont livrés entiers, en provenance de la RAF, les autres étant construits sous licence à Marignane. La maîtrise de cette fabrication permettra à la SNCASE de développer une
version plus puissante, le SE.532/535 Mistral, employé sur le théâtre d’opérations algérien. Surclassés dès le milieu des années 50, ces chasseurs à la silhouette unique ont permis aux forces
françaises d’entrer résolument dans l’ère des jets de combat, mais aucun ouvrage n’en avait jusqu’à présent retracé la carrière, tant ils étaient nombreux et largement répandus.
Les trois auteurs, appuyés par un grand réseau d’amis, ont relevé ce défi et raconté en détail l’histoire de toutes les unités et services ayant employé Vampire et
Mistral. Corrélativement, la carrière individuelle des 574 avions est retracée minutieusement. Les aspects industriels et opérationnels ne sont pas oubliés.
L’ouvrage, présenté en deux tomes, s’appuie sur une iconographie de quelque 1 700 photos et dessins et sur les nombreux profils réalisés par Patrice Gaubert. Plus
de 100 témoignages des acteurs de cette époque montrent à quel point les débuts du jet étaient enthousiasmants … ou dramatiques.
Format : A4
56,05 €
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Si le Vampire a été conçu et employé comme avion de chasse par l’Armée de l’air, cet usage ne devait pas être très longtemps son apanage. L’arrivée d’appareils américains dans le cadre du MDAP, la mise au point progressive des chasseurs de Marcel Dassault, lui ravirent la vedette, d’autant plus qu’ils étaient plus modernes et simplement meilleurs. Il convenait pourtant de lui trouver une utilité : c'est au sein de l’École de Chasse de Meknès que les Vampire serviront à la transition réacteur des jeunes pilotes.
Par contre, le Mistral, commandé à 247 exemplaires, n’a pas été employé à la chasse pure malgré des performances améliorées. C’est sa capacité à emporter bombes et roquettes qui lui a fait rencontrer l’histoire : les opérations en Algérie vont mettre en valeur son potentiel offensif dans toutes les escadres de chasse d’Afrique du Nord.
Le Tome 1 traitait de l’histoire technique, industrielle et opérationnelle des deux modèles, puis en suivait l’emploi au jour le jour par les escadres métropolitaines et en Allemagne. Ce second volume va poursuivre la narration de leur emploi, mais cette fois au sein des escadres d’AFN, dans le contexte du conflit algérien. Une place est aussi faite à l’escadre de réservistes de Creil, avant de revenir en détail sur l’emploi dans les écoles de l’Armée de l’Air et de la Marine. Par ailleurs, l’usage des Vampire et Mistral par le CEV et enfin au Sahara est mis en lumière.
L’ouvrage est complété par un long chapitre consacré aux Vampire importés en France comme avions de collection. Et, pour la satisfaction des amateurs, un chapitre fait le point sur les marques et insignes, et sur toutes les maquettes permettant, au fil des années, de représenter le premier jet de combat en France.
Format : A4
56,05 €
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Format : A4
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Si vous posez la question : citez un avion de la Patrouille de France, la réponse sera...le Fouga ! Construit à plus de 900 exemplaires (plus une trentaine pour son cousin le Zéphyr), cet oiseau emblématique a formé des milliers de pilotes militaires de part le monde et sur plusieurs générations. Il a aussi fait parler la poudre dans différents conflits locaux sur presque tous les continents. De nos jours, de nombreux exemplaires volent encore aux mains de collectionneurs, en particulier en France et aux États-Unis. Mais c’est aussi, au-delà d’être une réussite technologique industrielle dans une période d’après-guerre difficile, une réussite humaine. À tous les échelons, les acteurs de cette grande aventure se sont surpassés pour surmonter les difficultés et les échecs, mais aussi les drames.
Format : A4
61,75 €
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Format : A4
53,20 €
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Format : A4
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Format : A4
64,60 €
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Pour votre plus grand plaisir, nous vous avons entendus et nous vous confirmons que cet ouvrage va être réimprimé en petite quantité – 200 exemplaires – en repartant de la version rééditée en 2011.
Ce « V1 arme du désespoir » version 2011 est sans commune mesure avec son prédécesseur, pourtant salué en son temps par la presse spécialisée. Dire qu'il comprend 60 nouveaux plans, 514 nouvelles photos et 20 % de texte supplémentaire ne définit que de manière froide et imprécise l'ampleur de l'enrichissement apporté. Tous les chapitres sans exception ont été remaniés et complétés, avec un apport particulier à ceux qui sont consacrés à la recherche, au développement, à la technique et à la mise en œuvre de l'arme. À l'étude beaucoup plus complète des stockages souterrains est venue s'ajouter une approche plus pointue du 155 Flak Regiment, de son organigramme, de ses uniformes et même de ses pertes. Les contre-mesures ne sont pas oubliées, des plus réalistes aux plus aléatoires, jetant un éclairage parfois très cru sur certaines idées reçues, images d'Épinal ou autres mythes. Enfin, la liste récapitulative des sites a été entièrement revue et corrigée pour coller à la réalité des modifications sur le terrain. En résumé, si « V1 arme du désespoir » 2006 fut un tremplin, « V1 arme du désespoir » 2011 se présentera à n'en pas douter, comme un aboutissement.
60,80 €
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Avec sa silhouette gracieuse et son sifflement strident, la Gazelle est un hélicoptère dont la vision est devenue familière depuis son premier vol, il y a plus de cinquante-cinq ans.
Conçue comme simple appareil d’observation, elle a été employée bien au-delà de cet unique rôle, devenant même un véritable hélicoptère de combat au sein de nombreuses forces armées qui en ont fait l’acquisition. Aux Malouines, au Moyen-Orient, dans les Balkans ou en Afrique, la Gazelle a pris part à la majeure partie des conflits de ces quatre dernières décennies.
Aujourd’hui, la carrière de la Gazelle en première ligne est en passe de s’achever chez ses utilisateurs militaires, et elle devient désormais un appareil de collection très prisé : c’est donc le moment de retracer son histoire.
Cet ouvrage raconte l’histoire de la Gazelle (des premières ébauches à la fin de la production en série) et des évolutions techniques qu’elle a introduit dans le monde des voilures tournantes (en particulier le célèbre rotor de queue caréné « fenestron »), offre une description détaillée de l’appareil avant de faire le tour, de manière aussi complète que possible, de tous les pays qui l’ont utilisée au sein de leurs forces armées ou de leurs services étatiques, sans oublier d’aborder la carrière civile de cet appareil devenu iconique.
61,75 €
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L’Escadron de Chasse Ardennes est une unité à part dans l’organigramme de l’armée de l’Air et de l’Espace. En 2023, il fête ses 80 ans. Il nous a semblé opportun de profiter de cet anniversaire pour en retracer l’historique.
L’unité a été dissoute et recréée à plusieurs reprises. Seule l’Escadrille BR 44, rattachée tardivement à l’escadron, puise ses origines dans la grande guerre. C’est en 1943 que les sangliers apparaissent. Si l’Ardennes n’est pas, pour une question de chronologie, une unité F.A.F.L., la majorité des personnels en partage l’esprit. Ils écrivent les premières pages de gloire sur P-47. Au cours de l’opération 700 à Suez, les sangliers opèrent sur F-84F. Le Mirage 5F n’aura pas l’occasion de s’illustrer sur des théâtres d’opérations extérieures, mais son successeur, le Jaguar, le fera avec succès. Le Mirage 2000D quant à lui a été de toutes les Opex et le savoir-faire de l’Ardennes est étroitement associé à cette monture. Dans cet ouvrage, fort de 320 pages, de plus de 740 photos et de 16 profils en couleur, vous percevrez ce qui fait l’âme de cet Escadron, résumée si parfaitement dans sa devise : « Ne recule ni ne dévie »
46,55 €
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Marine
Parution du 10/06/2010
Auteur : Gérard GARIER
Edition : Collection Marine du Monde n° 17
ISBN : 978-2-914017-57-2
Les croiseurs de 10 000 tonnes ont été les bâtiments les plus emblématiques du renouveau de la flotte de guerre française au lendemain de la Première Guerre mondiale. En effet, faute de cuirassés neufs dans le programme naval, les sept croiseurs de 10 000 tonnes, conformes aux normes imposées par le traité de Washington du 6 février 1922 fourniront l'image de la modernité dans la ligne de bataille, au moins pour les années 1930. Au sein de nos escadres, ils montreront le pavillon en Atlantique comme en Méditerranée ou dans l'océan Indien pour certains, mais à l'exception de trois d'entre eux, leur carrière s'achèvera avec le pitoyable sabordage de Toulon, sans véritable épreuve du combat. De ces sept bâtiments : Duquesne, Tourville, Suffren, Colbert, Foch, Dupleix et Algérie, proches dans leurs caractéristiques générales, mais distincts par leur armement secondaire et surtout par leur protection, nous avons déjà écrit sur les deux premiers. Il restait donc, pour les lecteurs curieux d'histoire comme de technologie navale à aborder ce noyau central que forment les croiseurs Suffren, Colbert, Foch et Dupleix. Nous vous proposons de le faire à présent, avec ce tome I qui traite les deux premiers Suffren et Colbert.
Format : A4
52,25 €
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Parution du 19/11/2012
Auteur : Gérard GARIER
Edition : Collection Marine du Monde n° 18
ISBN : 978-2-914017-68-8
Ce second tome traite des deux derniers croiseurs français de 10 000 tW FOCH et DUPLEIX avant l'apogée de l'ALGÉRIE. On y trouve outre leurs caractéristiques et
leurs historiques, les faits marquants de leurs courtes carrières, comme le transfert des cendres du Maréchal Lyautey, l'opération "Vado" contre l'Italie, l'armistice et leur tragique
sabordage le 27 novembre 1942. De la même veine que le tome 1 consacré au SUFFREN et COLBERT, il est richement illustré de plus de 500 photographies, aquarelles, plans d'origine, schémas
officiels et profils couleurs.
Format A4 - 256 pages & 16 pages en A3 de plans et profils.
Format : A4
52,25 €
TTC, frais de port non compris
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Parution du 5/06/2015
Auteur : Gérard GARIER
Edition : Navires & Histoire des Marines du Monde N°22
ISBN : 978-2-914017-86-2
Cette série d'avisos-dragueurs a eu la malchance de naître trop tard pour le début du second conflit mondial, puisque certains iront au feu pratiquement sans
armement digne de ces combats. Mais elle a tout de même servi sinon de dragueurs (très peu) surtout d'escorteurs de convois, type de bâtiments manquant cruellement à la Marine française.
Certains de ces bâtiments vont aussi se trouver sur les théâtres d'opérations tels que Dunkerque, Dakar (dans les deux camps FNFL et Vichy), le débarquement en Provence, puis ce sera
l'Indochine et même l'Algérie. Chacun va avoir une carrière passionnante et peu connue.
Ce vol.1 couvre les 6 premiers : l'Élan, le Commandant Bory, le Commandant Delage, le Commandant Rivière, le Commandant Duboc et le Commandant Domine. Environ
336 pages, 700 photos, 35 plans, 46 profils couleurs et 20 aquarelles de Jean Bladé.
Le vol.02 ( parution 2016) concernera La Batailleuse, La Capricieuse, La Gracieuse, La Boudeuse, L’Impétueuse, La Curieuse, La Moqueuse).
Format : A4
46,55 €
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Parution du 7/07/2016
Auteur : Gérard Garier
Edition : Navires & Histoire des Marines du Monde n°26
ISBN : 978-2-914017-94-7
Cette série d'avisos-dragueurs a eu la malchance de naître trop tard pour le début du second conflit mondial, puisque certains iront au feu pratiquement sans
armement digne de ces combats. Mais elle a tout de même servi sinon de dragueurs (très peu) surtout d'escorteurs de convois, type de bâtiments manquant cruellement à la Marine française.
Certains de ces bâtiments vont aussi se trouver sur les théâtres d'opérations tels que Dunkerque, Dakar (dans les deux camps FNFL et Vichy), le débarquement en Provence, puis ce sera
l'Indochine et même l'Algérie. Chacun va avoir une carrière passionnante et peu connue.
Le tome.1, qui est paru en juin 2015, couvre les 6 premiers : l'Élan, le Commandant Bory, le Commandant Delage, le Commandant Rivière, le Commandant Duboc et le
Commandant Domine. 336 pages, 700 photos, 35 plans, 46 profils couleurs et 20 aquarelles de Jean Bladé.
Pour le tome 2, comme leurs sister-ships étudiés dans le tome 1, les avisos-dragueurs baptisés par des adjectifs qualificatifs vont connaître une carrière
captivante jalonnée de faits marquants.( La Batailleuse, La Capricieuse, La Gracieuse, La Boudeuse, L'Impétueuse, La Curieuse & La Moqueuse) . Les quatre survivants au second conflit
mondial participent à la guerre d'Indochine, puis trois à celle d'Algérie. La Capricieuse finira ses jours dans le Pacifique, La Moqueuse, dernier en service est utilisée dans les années 1960
comme bâtiment expérimentale aux essais des missiles SS 11.
Environ 320 pages, 750 photos et 53 profils couleurs
Format : A4
46,55 €
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Bien que les troupes à terre aient été pleinement dépendantes du front maritime, peu d'ouvrages ont apporté une réponse à la question : "Mais qu'a fait la marine française pendant la guerre de 14 ?". C'est cependant, de toutes les armées de la République, la seule à s'être battue dans tous les éléments : sur mer bien sûr, mais aussi dessous, sur terre et dans les airs, et avec guère plus de 165 000 hommes, et pourtant son rôle reste méconnu. Ce livre s'adresse donc aux générations nouvelles, afin qu'elles sachent ce que ces "obscurs", oubliés de l'Histoire, ont accompli durant la Grande Guerre.
28,41 €
TTC, frais de port non compris
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Bien que les troupes à terre aient été pleinement dépendantes du front maritime, peu d'ouvrages ont apporté une réponse à la question : "Mais qu'a fait la marine française pendant la guerre de 14 ?". C'est cependant, de toutes les armées de la République, la seule à s'être battue dans tous les éléments : sur mer bien sûr, mais aussi dessous, sur terre et dans les airs, et avec guère plus de 165 000 hommes, et pourtant son rôle reste méconnu. Ce livre s'adresse donc aux générations nouvelles, afin qu'elles sachent ce que ces "obscurs", oubliés de l'Histoire, ont accompli durant la Grande Guerre.
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Les cuirassés de la classe “Yamato” ont indubitablement marqué l’histoire de la construction navale mondiale. Leur déplacement et leurs dimensions en firent en effet des navires hors normes.
Développés puis construits dans le plus grand secret, les cuirassés Yamato et Musashi constituèrent une prouesse technique sans précédent pour la Marine Impériale et les chantiers navals
japonais. Leur prix de revient fut aussi gigantesque que leurs dimensions et leur construction exigea de nombreux sacrifices. Leur construction fut très critiquée par certains officiers de haut
rang de la Marine Impériale qui prédisaient, à juste raison, la fin de la primauté du cuirassé au profit du porte-avions.
Entrés en service après le déclenchement de la Guerre du Pacifique, ils passèrent la plupart de leur temps à l’ancre dans la grande base de l’archipel de Truk, preuve de leur inutilité.
Lorsqu’ils purent livrer leur première bataille, lors du grand affrontement des Mariannes, leur présence n’empêcha guère la Marine Impériale de subir une très lourde défaite. Le combat suivant,
la grande bataille de Leyte, amena la perte du Musashi, coulé par un nombre important de bombes et de torpilles toutes larguées par les avions de l’US Navy. Le Yamato ne lui survécut que six mois
et fut coulé alors qu’il tentait de se rendre à Okinawa pour une opération sans retour ; les avions de l’US Navy ne lui laissèrent aucune chance.
Un troisième navire de la même classe, le Shinano, ne fut jamais achevé comme cuirassé mais fut transformé en porte-avions. Il fut coulé lors de sa toute première sortie en novembre 1944, par les
torpilles d’un sous-marin américain.
Malgré ces destins tragiques, les cuirassés géants de la classe “Yamato” exercent toujours une indéniable fascination sur le public, tant japonais qu’étranger. Les épaves des deux cuirassés oint
d’ailleurs été retrouvées puis explorées.
Simon Liot de Nortbécourt, jeune auteur issu d’une famille de marins, nous livre dans cet ouvrage le fruit de nombreuses années de recherches, recherches qui l’ont amené à visiter le musée Yamato
au Japon et à recueillir le témoignage d'anciens marins des deux cuirassés.
Environ 300 pages, 340 photos dont certaines sont inédites, 50 dessins 3D, avec plans. La partie technique a été développée grâce à la traduction de documents japonais.
Format : A4
46,55 €
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Les cinq frégates type « La Fayette » sont les premiers bâtiments de guerre furtifs. Leur apparition, au milieu des années quatre-vingt-dix, marque le début d’une nouvelle tendance dans
l’esthétique navale. Ces cinq bâtiments, basés à Toulon, sont bien adaptés aux situations de crise et sont largement utilisés à la surveillance dans les zones troublées.
Environ 160 pages, 230 photos, plans et 5 cartes.
Format : A4
23,75 €
TTC, frais de port non compris
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Cet ouvrage est principalement consacré aux 34 sous-marins de 2e classe et aux six mouilleurs de mines (type Saphir) issus des programmes de construction navale de 1922 à 1936. La période post 1945 des sous-marins de 2e classe type Aurore, dont le premier est juste achevé en juin 1940, est simplement évoquée. Les sous-marins contemporains de 1re classe (type Requin et Redoutable) font l’objet d’un ouvrage spécifique.
Ces sous-marins de 2e classe ont été désignés sous-marins de moyenne patrouille ou de défense des côtes avant la désignation finale de sous-marins de 2e classe en 1924 mais l’appellation de sous-marins côtiers reste souvent utilisée. Les douze premiers qui vont constituer la classe Sirène sont aussi désignés les « 600 tonnes », les seize suivants sont les 630 tonnes et les six derniers le type « Amirauté ».
L’historique et la description des sous-marins de 2e classe construits entre les deux guerres n’ont pas fait l’objet de grandes études. Ces bateaux ne se sont pas particulièrement illustrés pendant la seconde guerre mondiale à l’exception des unités difficilement réarmées en Grande Bretagne par les FNFL. Les autres constituent une partie des forces sous-marines de la Marine de l’État français et beaucoup sont désarmés avant la fin de 1940. Les rares survivants des douloureux événements de novembre 1942, après quelques missions en Méditerranée, ne serviront pratiquement que pour l’entraînement. Il en est de même pour les six sous-marins mouilleurs de mines à l’exception du Rubis devenu un symbole pour les FNFL.
La partie historique n’a pour ambition que de rapporter ce qui s’est passé en laissant à l’écart toute interprétation qui n’a pas sa place dans un ouvrage essentiellement technique.
58,90 €
TTC, frais de port non compris
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Les ouvrages français sur la Marine impériale russe sont rares. On peut en dire autant des publications anglaises et américaines.
La marine impériale russe est pourtant une marine hors normes, parce qu’écartelée entre trois théâtres principaux : la Baltique, le Pacifique et la mer Noire, dont
les deux premiers seulement pouvaient être reliés (au prix de grandes difficultés), la mer Noire restant tout au long de son histoire une mer fermée par un ennemi héréditaire : la
Turquie.
Hors normes également parce qu’elle s’est toujours attachée à développer des moyens techniques innovants jusqu’à être précurseur dans plusieurs domaines tels le
torpilleur sous-marin ou la guerre des mines ; bien d’autres encore…
Mais aussi entravé par des conditions climatiques contraignantes, par des doctrines contestables et de mauvaises gestions des équipages.
Une histoire tout en contraste qui a vu cette marine se rebâtir en quelques années après avoir été presqu’entièrement écrasée dans la guerre russo-japonaise, tandis
que le virus de la révolution la contaminait.
Ce travail historique sur la Marine impériale russe et ses navires est basé sur des sources d’archives originales. Ainsi, l’auteur a pris comme support principal de
ses recherches les rapports des attachés navals français à Saint-Pétersbourg, particulièrement fournis et documentés du fait de l’alliance franco-russe. Il les a étayés avec les publications de
l’école de guerre française de l’époque puis par quelques ouvrages russes et revues spécialisées contemporaines.
Ce livre comprend une partie historique développant l’évolution de la Marine et de ses structures (travail détaillé sur les avancées ou les carences technologiques
et industrielles, les arsenaux, chantiers, industries, les corps des officiers, instruction des équipages ; puis, bien sûr les conflits et événements, les leçons qui en ont été tirées,
etc.) et une partie technique détaillant chaque navire et série de navires avec caractéristiques et historiques succincts.
Format : A4
47,41 €
TTC, frais de port non compris
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Winston Churchill, Premier ministre britannique durant la Seconde Guerre mondiale, a déclaré : « La seule chose qui m’a vraiment effrayé pendant la guerre était la menace des sous-marins allemands.»
Dans ces deux volumes sur les U-Boote, l’auteur reprend l’intégralité des sous-marins allemands pour en décrire les caractéristiques, les commandements, les victoires et les disparitions, que ce soit au cours de la guerre ou après la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Dans ce premier tome, l’auteur décrit la création de l’Unterseekriegsmarine, débutée dès 1922 malgré l’interdiction faite aux Allemands de posséder à nouveau une arme sous-marine. Pour cela, il fallut employer de nombreuses ruses, jusqu’aux accords navals germano-britanniques du 28 juin 1935, qui permettront à Hitler de dévoiler officiellement son premier programme de constructions.
Enfin, vous trouverez le détail des 770 premières fiches des U-Boote avec les noms des bâtiments qu’ils ont coulés.
Format : A4
52,25 €
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Le deuxième tome sur les sous-marins de la Kriegsmarine relate la période noire de l’Unterseekriegsmarine qui débute après mai 1943. Les Alliés vont enfin disposer de suffisamment d’escorteurs, d’avions à long rayon d’action couvrant la totalité des zones jusque-là inaccessibles et de moyens de lutte ASM de plus en plus perfectionnés et performants. La poursuite des fiches techniques, de l’U.771 à l’U.6442,comprend une étude complète du K-Verband ; ces petits bâtiments de poche avaient la difficile mission de maintenir une activité offensive contre les navires alliés en attendant la mise en service des modèles XXI et XXIII destinés à renverser le cours de la guerre sur mer.
L’auteur nous fait également découvrir les chantiers navals, les bases et les bunkers construits pour la protection et la maintenance des U-Boote, l’évolution des armements et des équipements de ces sous-marins et la vie des hommes à bord et en dehors de leurs activités guerrières. Enfin, un récapitulatif détaillé de tous les sous-marins étrangers capturés par la Kriegsmarineest inclus dans ce second tome.
Au total, ces deux volumes, regroupant 672 pages, plus de 1 670 photos, 190 profils couleur et 815 insignes de U-Boote, constituent un ouvrage de référence auprès de tous les amateurs d’Histoire.
Format : A4
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Depuis 1912, des porte-aéronefs sont en service dans la Marine nationale.
Les porte-hydravions de la première guerre mondiale sont suivis en 1928 par un premier porte-avions, le Béarn. Périmé, il n'est pas engagé au combat pendant
la seconde guerre mondiale mais le personnel qu'il a formé permet en 1945 la reconstitution d'une aviation embarquée qui va disposer de deux porte-avions d'origine britanniques, le Dixmude et
l'Arromanches puis de deux anciens américains, le La Fayette et le Bois Belleau, largement engagés en Indochine.
Le Clemenceau et le Foch, de construction nationale, servent entre 1960 et 2000 avec des
groupes aériens homogènes et interviennent dans de nombreuses zones troublées.
Une nouvelle génération apparaît en 2000 avec le Charles de Gaulle et le Rafale.
Format : A4
56,05 €
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Cet ouvrage comprend les caractéristiques et l'histoire de trois cuirassés le Brennus, le Carnot et le Charles Martel.
Malgré avec ses déboires de jeunesse, le Brennus est des plus intéressants car il rompt nettement avec ses prédécesseurs avec l’unité de calibre de son armement
principal en tourelles fermées de 340 mm et un armement secondaire doté de l'excellent canon de 164,7 mm à tir rapide. Quand on le compare avec les cuirassés étrangers de la même époque, il tient
bien son rang.
Pendant toute sa carrière il portera la marque d'amiraux.
Pour la construction des unités suivantes, la marine française aurait pu s'inspirer du Brennus en le modifiant et en l’améliorant afin d’obtenir un cuirassé de
valeur égale ou supérieure aux bâtiments étrangers contemporains.
Hélas, c'est l'inverse qui s’est produit et au lieu d'aller de l'avant, les cuirassés suivants du "Programme 1890", seront inférieurs dans tous les domaines au
Brennus. Ils vont être baptisés Carnot, Charles Martel, Jauréguiberry, Bouvet et Masséna. Construits sur les idées de la "Jeune Ecole" dont les partisans sont au pouvoir, ces cinq cuirassés
recevront l’appellation peu flatteuse de "flotte d'échantillons", car construits dans cinq chantiers, avec des plans différents, et suivant les idées personnelles des ingénieurs constructeurs de
ces chantiers ; ils auront des silhouettes totalement dissemblables. Seuls leur armement principal et secondaire sera le même ainsi que le nombre de pièces et leur disposition (sauf pour le
Jauréguiberry qui aura quatre tourelles doubles de 138 mm au lieu de huit tourelles simples). Le déplacement ne dépassera pas 12 000 t et la vitesse 18 nœuds. Les deux premiers cuirassés
"échantillons" sont étudiés dans ce volume : tome 1.
Le tout sur 272 pages, avec 392 photos, 88 plans et schémas, 12 profils et 6 aquarelles de Jean Bladé (†).
Le tome 2, comprendra les trois derniers "Echantillons" Jauréguiberry, Bouvet et Masséna, à ce groupe de cuirassés nous ajouterons le Henri IV, bâtiment unique en
son genre et original.
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Dans le premier tome de cet ouvrage, notre étude avait concerné la genèse de la flotte cuirassée française dans la période comprise entre la guerre de 1870 et la crise de Fachoda d’une part et d’autre part l’historique des trois premiers cuirassés de cette flotte dite « d’échantillons » avec les Brennus, Carnot et Charles Martel.
Avec ce deuxième tome, nous allons étudier les trois derniers cuirassés du programme de 1890, Jauréguiberry, Bouvet et Masséna, ainsi que « l’inclassable » Henri IV, bâtiment qui permit à l’ingénieur Emile Bertin de concevoir et réaliser plusieurs innovations dont la double coque, le compartimentage cellulaire poussé et l’usage des tourelles superposées. Innovations qui allaient modifier de manière radicale la conception des grands bâtiments de combat conçus dans les années 1910 et suivantes.
Trois de ces quatre navires ont pris une part active à la Grande Guerre d’un bout à l’autre de la Méditerranée. Et même le Masséna y écrivit une page innovante : il sera sabordé pour devenir une des jetées du port de Seddul Bahr. La création de ce port « artificiel » sera l’idée de génie qui permettra aux troupes franco-britanniques de recevoir approvisionnements et renforts qui leur permettront de combattre dans la presqu’île de Gallipoli. La leçon ne sera pas perdue puisque le concept de port artificiel sera repris en 1944 devant les plages de Normandie.
À la fin de cet ouvrage, un résumé de la guerre navale en Méditerranée, les tableaux des silhouettes, peinture, des endivisionnements et des anneaux de cheminées des sept cuirassés étudiés dans cet ouvrage auxquels nous avons joint leurs cinq contemporains, Charlemagne, Gaulois, Saint Louis, Iéna et Suffren, car leur carrière est indissociable de celles des Brennus, Carnot, Charles Martel, Jauréguiberry, Bouvet, Masséna et Henri IV, permettront aux possesseurs de photos et cartes postales de les dater et localiser.
Format : A4
52,25 €
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Les Chasseurs de Mines Tripartie (CMT) sont en service depuis 1984. Résultat d'une coopération réussie entre la France, les Pays-Bas et la Belgique, quarante bâtiments ont été construits dont treize armés par la Marine nationale.
La chasse aux mines a remplacé le dragage par une exploration minutieuse des fonds combinant sonar et plongeurs-démineurs, l'homme restant l'ultime moyen de classification. Ces chasseurs de mines sont des bâtiments particulièrement sophistiqués, modernisés mais dont le remplacement fait l'objet d'études et d'essais multiples.
Cet ouvrage de 192 pages sera agrémenté de plus de 300 photos, de cartes et de schémas.
Format : A4
36,10 €
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Avec un déplacement maximal
inférieur à 400 t, les escorteurs côtiers figurent parmi les plus petites unités de combat qu’une marine puisse compter.
La Marine nationale ne put s’en
passer.
Dès 1944, elle est ravie de
pouvoir récupérer dans ses rangs une trentaine de PC d’origine américaine qui vont contribuer au retour sur les mers des forces navales françaises. Pour ses opérations en Indochine, elle demande
et obtient une quinzaine de PC supplémentaires. Puis, alors que la guerre d’Algérie débute, elle se dote de 14 escorteurs côtiers conçus et réalisés en France.
Pas moins de 57 escorteurs
côtiers d’origine variée mais de types très proches vont ainsi se succéder sous pavillon français.
Nombreux, plutôt fiables et très
économiques, ces escorteurs aux multiples qualités vont marquer des générations de marins aujourd'hui disparus ou nos anciens. Puissent leurs épopées rappeler aux plus jeunes que notre chère
Marine nationale ne pourra jamais se passer de nombreuses petites unités de combat capables d’opérer partout et tout le temps, ne serait-ce que pour sauvegarder notre immense et riche domaine
maritime.
Outre les carrières des 57
petits bâtiments, les origines, les caractéristiques techniques, les aménagements, les missions leurs étant dévolues ainsi que la vie à bord, sont largement développés dans ce livre
magnifiquement présenté : format A4, entièrement en couleurs sur papier glacé, présence de très nombreuses illustrations : avec plus 800 photos, planches, profils et insignes des bâtiments,
cartes, le tout sur environ 448 pages.
60,80 €
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Le Tirpitz était, à n’en pas douter, l’un des bâtiments de guerre les plus élégants de sa génération. D’une puissance redoutable et incontestée, le sistership du Bismarck passa la majorité de sa carrière dans les fjords norvégiens. Après de courtes sorties infructueuses contre des convois alliés, c’est une formidable aventure humaine qui va se mettre en place afin de neutraliser le dernier cuirassé d’Hitler. Nous embarquerons sur des torpilles humaines, à bord de sous-marins de poche et dans des Lancaster équipés de bombes géantes. La pugnacité des britanniques pour détruire le géant sera grandement épaulée par les résistants norvégiens qui ne reculeront devant rien pour neutraliser les bâtiments lourds de la Kriegsmarine.
Le navire de ligne n’eut jamais l’occasion de se mesurer à l’un de ses similaires car le Tirpitz avait un rôle à tenir durant cette guerre ; celui de ‘’Fleet in Being’’ et il le remplit à la perfection.
56,05 €
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